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       Vicomté
           de
     THOUARS

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Geoffroy IV, le persévérant
Vicomte de Thouars

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Denise, la douce
Vicomtesse de Thouars

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        Geoffroy IV de Thouars est le fils d'Aimery V et d'Agnes de Poitiers: Vicomte et Vicomtesse de Thouars et aussi le petit- fils de Guillaume IX: Duc d'Aquitaine.

    Il succède à son frère Guillaume 1er disparu jeune. En 1156 il attaque et dévaste la terre de son voisin du nord, Berlai de Montreuil.

    Ensuite, il combat aux côtés de Geoffroy Plantagenet, des comtes de la Marche et d'Angoulême et du Seigneur de Lusignan contre le Roi d'Angleterre Henri II Plantagenet. Durant ce conflit qui tourne mal, le Vicomte Geoffroy IV est obligé de se réfugier à Puy-Béliard.

    Son château est rasé et sa ville dotée d'un gouverneur, Briant de Martigné. Il le reste jusqu'à sa mort en 1160.

    Le Roi d'Angleterre Henri II de Plantagenet réside même, quelques temps dans la ville de Thouars.

    Enfin le Vicomte Geoffroy IV de Thouars fait allégeance en 1160 et revient dans sa ville. Il engage la reconstruction de sa forteresse et part ensuite en pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle.

    En 1168 de nombreux seigneurs poitevins se soulèvent de nouveau contre le Roi d'Angleterre Henri II. Evidemment le Vicomte Geoffroy IV de Thouars s'allie à nouveau avec le Seigneur de Lusignan, le comte d'Angoulême et du comte de la Marche.

    C'est durant cette période qu'il fît la connaissance de Dame Denise, la fille de son allié et ami le Seigneur Hugues VII de Lusignan et de son épouse Dame Sarrasine de Lezay.

    Le Vicomte fût séduit par sa beauté et sa douceur.

    Ils tombèrent amoureux et c'est tout naturellement qu'ils se marièrent et devinrent ainsi le Vicomte et la Vicomtesse de Thouars.

      

      

 

       

       Vicomté
           de
        DIJON

Eudes Ier,
le Champenois
Vicomte de Dijon

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Sibylle, L'altruiste
Vicomtesse de Dijon

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        D'après les chartes Ducales: l'histoire du Vicomté de Dijon débute en 1031 avec les premiers Vicomtes: Rémi, puis Erard (1034-1039)et Gui (1042-1043).

        C'est dans un second temps, après l'abandon du comitatus Divionensis par Robert Ier Duc de Bourgogne (1032-1076), que le titre vicomtal gagne en autonomie, comme en témoigne sa transmission par voie matrimoniale dans la seconde moitié du XIe siècle. 

       La dignité vicomtale passe en effet, par le mariage du "proconsul" Gautier, fils de Gui le riche, à Thibaud de Beaume, puis à Josbert le Roux, seigneur de Châtillon, dont le fils Josbert de la Ferté, mourra sans enfants.

       L'union de sa nièce; Sibylle de la Ferté sur Aube avec Eudes Ier de Champlitte, permettra au seigneur de Champlitte de devenir Vicomte de Dijon en 1137.

      Eudes Ier de Champlitte, dit le Champenois est Vicomte de Dijon, Seigneur de Champlitte et de Pontailler.

      

      Fils de Hugues Ier, Comte de Champagne et d'Isabelle de Bourgogne (fille d'Etienne Ier, Comte de Bourgogne).

A sa naissance, son père ne reconnait pas sa légitimité et le chasse avec sa mère.

      Eudes Ier et alors recueilli par sa famille maternelle et devient Seigneur de Champlitte, qu'il tient probablement du chef de sa mère, Isabelle de Bourgogne ou de la libéralité de son oncle, Renaud III (Comte de Bourgogne).

      En 1137, il fît la connaissance lors d'un bal, de Dame Sibylle de la Ferté sur Aube ( fille de Hugues IV de Beaumont sur Vingeanne ( Seigneur de Beaumont et d'Autrey) et de Mathilde Mahaut de la Ferté sur Aube).

      Bien sûr, il fût séduit par sa beauté, mais surtout par sa gentillesse et son dévouement envers tout ceux qu'elle côtoie, ce qui lui value d'ailleurs par la suite le surnom de Sibylle l'altruiste. C'est tout naturellement qu'ils se marièrent dans l'année.

      Ce mariage fait par la Suite, entrer le titre de Vicomte dans la maison de Champlitte-Pontailler.

      En 1143, le Roi de France Louis VII, en guerre contre le Comte Thibaut II de Champagne, s'empare de la ville de Vitry et place Eudes Ier, Vicomte de Dijon, en possession de cette ville pour un temps lui exprimant ainsi sa confiance.

      En 1171, il part en pèlerinage en Terre Sainte avec le Duc de Bourgogne, Hugues III, ce qui donne l'occasion à la Vicomtesse de montrer à tous, ses aptitudes à gérer le Vicomté de Dijon avec souplesse mais fermeté en plusieurs occasions.

A son retour, la Vicomtesse Sibylle et lui se consacrèrent exclusivement à leur famille et leur vicomté.

      

      

      

 

       

Cécile, la bienveillante
Dame de Marseille.

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       Cécile d'Aurons, Dame de Marseille est la fille de Raymond D'aurons, Seigneur de Rognonas, du comté de Provence et de Bolbone de Rognonas, Dame d'Aurons.

 Elle est très appréciée par son entourage et par le peuple pour sa gentillesse, sa joie de vivre et sa bienveillance. Toujours prête à aider et faire le maximum pour que la vie de tous et toutes soit la plus agréable possible: peu importe son rang.

       Nombre de qualités qui, en plus de sa beauté, séduirent Olivier, dit le sage, Seigneur de Puget-Théniers en affaire avec son père.

 Depuis ce jour, ils ne se quittèrent plus.   

Armand, le sagace
Maître Alchimiste.

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Léa, l'astucieuse
Alchimiste.

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       Armand de Rodez et Léa de Toulouse se sont rencontrés au cours d’un rassemblement sur l’Alchimie, organisé sur plusieurs jours, par le père de celle-ci : Raymond V, Comte de Toulouse qui est fasciné entre autre,  par les fameux pouvoirs de la Pierre Philosophale.

      Lors de ce rassemblement, le Maître Alchimiste de renom, Armand de Rodez (fils de Hugues II, Comte de Rodez), s’est particulièrement illustré, de part son savoir, ses démonstrations et son élocution.

     Armand s’attire non seulement les bonnes grâces du Comte de Toulouse, récemment réconcilié avec son père, mais conquit aussi le cœur de sa fille : Dame Léa, une jeune et     belle alchimiste confirmée, qui participe aussi à ce rassemblement.

     Ils tombent amoureux dès le premier regard. 

     Quelques lunes plus tard et avec l’assentiment de leurs parents,  Armand et Léa se marient en août 1178.

     Dès lors, c’est ensemble qu’ils vouent leur existence à cette science mystique qu’est l’Alchimie.

Erling, le rusé
Jarl et Régent Norvégien

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Christina, la sage
Princesse de Norvège

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         Erling Skakke est un Jarl norvégien.

         Il est le fils d’un magnat norvégien Orm Sveinsson surnommé Krypinge-Orm et de sa seconde épouse Ragnhild Sveinkesdatter. Son père était le fils de Svein Sveinsson dont l'épouse Ragnhild Ormsdatter était une arrière-petite-fille de Håkon Sigurdsson, jarl de Lade.

         Erling se lie d’amitié avec Rognvald Kali Kolsson le Jarl des Orcades et participe avec lui à partir de l’été 1151 à son pèlerinage-croisade qui le mène en Terre sainte et à Constantinople à la cour de Manuel Ier Comnène. La Saga des Orcadiens souligne la vaillance et la ruse d’Erling qui permet aux croisés de s’emparer d’un important château et d’un dromon ennemi en Galice. C'est à cette occasion qu'il fit la connaissance et se lia d'amitié avec Elie de Montbrun, Maître en Rouergue, des templiers.

          De retour en Norvège, son demi-frère Ogmundr Dreng étant mort, Erling devient Yarl. Comme son aîné, il rallie les partisans du roi Inge Ier de Norvège qui étaient recrutés essentiellement dans la haute noblesse et dans l’église.

          

          De son côté, Elie de Montbrun fît part de cette belle rencontre avec Erling Skakke à son ami, Hugues II, comte de Rodez. Agnes, comtesse de Rodez, présente lors de cette entre-vue, décida d'organiser un grand banquet pour festoyer en l'honeur du retour d'Elie de Montbrun. Elle invita Erling Skakke et sa soeur Holda (grande völva auprès du roi de Norvège). Par la suite, cela contribuera à consolider l'amitié et la paix entre les deux pays.

          Il participe aux luttes que doit mener Inge Ier contre ses frères. Après la mort en 1155 de Sigurd II de Norvège, Erling épouse la princesse Christina de Norvège, la fille légitime du roi Sigurd Ier de Norvège et de la Reine Malfrid de Kiev qui lui donne une fille Cristale et quelques années après un fils Magnus.

          Erling combat le co-roi Eystein II de Norvège et un nouveau prétendant Håkon II de Norvège. 

          Erling proposera comme souverain son fils de 5 ans, né de la princesse Christina qui bien que n’étant pas « fils de roi » se trouve être le seul descendant légitime en ligne féminine de Sigurd Ier le dernier roi incontesté du pays.

          Magnus V Erlingsson est élu roi en 1164 grâce à l'appui de l'archevêque de Trondheim Eystein Erlendsson consacré en 1161  et des évêques. Son père, Erling Skakke, est nommé Jarl et régent assume en fait la réalité du pouvoir. 

          

          Erling comme Inge Ier resta proche de l'église, en 1164, il fonda un monastère de chanoines réguliers de saint Augustin, à Halsnøy sur le Hardangerfjord.

Cristale, l'agile
Archet.

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   Cristale Skakke est la fille du jarl Erling Skakke.

   Depuis toute jeune, l'archerie la fascine. Elle s'y initie avec l'assentiment de son père et très vite, devient une redoutable archer. 

Elle est connue de tous en Norvège aux vues de ses nombreux faits d'armes.

Combattant souvent aux côtés de son père, elle en fait sa fierté.

 

Holda, la mystique
Völva.

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           Holda Skakke est la soeur du jarl Erling Skakke.

   Völva au service des rois de Norvège de la dynastie Gille.

  Malgré le fait que la majorité des Norvégiens se soient convertis au Christianisme, elle reste une fervente adoratrice des anciennes croyances et rites de l'époque de leurs ancêtres les vikings. C'est en cela qu'elle est tout de même écoutée et respectée.

    D'origine franque, Holda signifie "favorbale", "gracieuse", "indulgente" ou "la protectrice bienveillante". 

    Holda est une déesse de l'antiquité germanique, gérante surnaturelle du filage de l'accouchement et des animaux domestiques. Elle est également associée à l'hiver, aux sorcières et à la chasse fantastique. 

    Son nom est apparenté à certains êtres scandinaves comme les "Huld", femmes pratiquant les anciens rites shamaniques de la religion paganiste. 

    Les anciens Germains appelaient völva, les prêtresses et prophétesses. Elles sont des personnages récurrents de la mythologie germanique.

Les völvas pratiquaient le seydr (enchantement), le spä (prophéties) et le galdr (magie et chamanisme).

 

    Selon la mythologie et les récits historiques, les völvas étaient censées posséder des pouvoirs tels qu'Odin lui-même, le père des dieux, faisait appel à leurs services pour connaître l'avenir des dieux.

Sir
Dougal MacKenzie

CLAN MacKenzy

Lady
Neylle Campbell

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 Château d'Eilean Donan

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                         Le Clan MacKenzy est un vieux clan écossais des Highlands du milieu du XIIe siècle, ami du Clan MacDomier et du Clan MacLaplace depuis le XVe siècle.

            La devise du Clan: "  (Touches si tu oses!)

            Son emblème: " Le Cerf "

             Dougal MacKenzy, est né en 1510 à Dunkeld. 

            Chef de guerre du Clan MacKenzy, respecté et redouté de tous. C'est le bras droit de son  frère ainé: Colum ( Chef du Clan).

 On ne compte plus ses victoires. Ils contribue grandement à la notoriété du Clan.

            En 1530, il rencontre lors d'une réunion de Clans, Lady Neylle Campbell, née en 1510 à Inverness. Elle est issue d'une famille noble dont la devise est :

    " La beauté est dans les yeux de celui qui regarde ".

            Lady Neylle est très cultivée, elle parle plusieurs langues dont le latin. Elle est aussi un fin stratège, car elle mena et commanda elle-même, 1200 hommes de son Clan sur le champ de bataille contre les anglais et en sorti victorieuse.

            Après cette belle victoire et la mort de son ancien époux, ils se rapprochent, tombent amoureux et se marient en 1531. Ils finissent leur jours paisiblement dans le Château familiale.

    Comté de Provence et
    Baronnerie de Mirabel 

Aénor de Die,
Comtesse de Provence

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Baudoin Ybelin,
Baron de Mirabel

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                Baudoin d'Ybelin, né en 1133, était un noble croisé du royaume de Jérusalem, où il aura une influence de premier plan.

         En effet, en 1170 après la mort de son frère aîné Hugues, il hérite des forteresses de Ramla et d'Ibelin, mais décide de ne garder que Ramla et donne Ibelin à son frère cadet Balian.

         En 1174, il soutient le Comte Raymond III de Tripoli contre Miles de Plancy pour assurer la régence pendant la minorité du Roi de Jérusalem Baudouin IV et prend part à la bataille du Montgisard en 1177.

        En 1179, Baudoin est fait prisonnier par le Sultan Saladin, pendant la bataille de Marj Uyun sur les rives du Jourdain, en même temps qu'Eudes de Saint-Amand, Grand maître de l'ordre des Templiers. Il est relâché quelques mois plus tard contre le paiement d'une rançon versée par l'empereur de Byzance, Manuel Comnène auquel il rend visite en 1180 pour le remercier.

       En 1185, il quitta Jérusalem et retourna finir sa vie avec sa douce,  Aénor de Die, Comtesse de Provence, qu'il avait rencontré tantôt, lors d'un bal organisé par le Roi Baudouin IV et dont il était tombé amoureux, séduit par sa beauté et sa gentillesse. 

 

               La comtesse Aénor de Die , née en 1135, originaire de la Drôme, était l’épouse de Guillaume de Poitiers. C’était une belle et noble femme.

       Après la mort de son époux, elle aurait éprouvé un amour passionné pour  le Baron Baudoin d'Ybelin,  pour qui elle écrira un grand nombre de chansons.

       Le caractère sensuel de certains vers contraste avec la réserve habituelle des textes de l'époque. Malgré les recherches des musicologues, c’est à peu près la seule chose que l’on sait de cette comtesse. Il n’y a pas de documents irréfutables, le personnage reste enrobé de mystère. Il subsiste seulement quelques poèmes dont un seul accompagné de musique. Elle possédait un style musical assez simple, basé sur un schéma compact.

      Elle finit sa vie paisiblement avec le Baron Baudoin dans son château.

Le paladin est un chevalier ayant atteint l'un des plus hauts grades, faisant partie d'un ordre religieux et porteur du pouvoir sacré de la foi. Néanmoins ce terme a subi une évolution assez importante, en ce sens où de chevalier sacré partant en croisade pour le compte d'un ordre prestigieux et militaire, l'appellation de paladin finira par évoquer un concept plus humaniste de chevalier errant (peut-être un amalgame avec le latin palabundus qui signifie 'errant', 'qui voyage sans cesse') défendant la veuve et l'orphelin. Cette nuance peut être perçue en comparant deux opéras de Vivaldi basés sur le même personnage de Roland : Orlando furioso et Orlando finto pazzo.

Cette appellation vient de l'époque romaine. Sous Dioclétien, le corps de la Garde prétorienne (unité de soldats d'élite chargée de protéger les officiers généraux), constitué de fantassins romains, a été remplacé par un contingent monté de barbares. Leur possession de monture leur a donné la dénomination d’equites (cavalier), terme également utilisé à l'époque pour désigner l'Ordre des chevaliers romains. Or ce contingent était logé près du portique de la Schole palatine à Rome ; le temps et la déformation de la langue ont contribué à la création en bas-latin du mot palatinus (garde du palais) pour désigner les chevaliers d'élite constituant la garde personnelle de Charlemagne.

Exemples :

Outre La Chanson de Roland, c'est dans Girart de Vienne, chanson de geste de Bertrand de Bar-sur-Aube vers 1180, qu'on trouve la présence la plus significative du chevalier Olivier. Girard, l’oncle d’Olivier, est en guerre constante contre Charlemagne, son suzerain, depuis sept ans. Les deux adversaires décident de mettre fin au conflit par un duel entre leurs deux champions. Olivier, provenant du Comté de Vienne, et Roland de Bretagne, sont respectivement choisis par Girard et Charlemagne. Les champions s'affrontent en duel mais nul ne parvient à vaincre son adversaire. Reconnaissant chacun la vaillance et la noblesse de l’autre, ils se jurent mutuellement leur amitié, et parviennent à rétablir la paix entre leurs oncles.

Dans Roland à Saragosse, Olivier est décrit comme l'ami de Roland, ainsi comme le chaperon désigné par Charlemagne pour tempérer l'impétuosité juvénile de son neveu Roland. Celui-ci est invité par la reine maure Bramimonde de Saragosse, où il se rend avec Olivier. En arrivant en vue de la ville, Roland demande à Olivier de lui promettre une faveur. Celui-ci accepte, ne s'attendant à aucune traitrise. Roland lui demande de ne pas l'accompagner, afin d'obtenir pour lui seul la gloire et les faveurs de Bramimonde. Outré, Olivier tient toutefois parole, et Roland entre seul en ville, où Bramimonde lui donne un magnifique manteau. Mais quand Roland veut quitter la ville, il est encerclé et retenu par des Sarrasins. Il appelle Olivier, qui est sur une colline à l'extérieur, au secours. Celui-ci ne bouge toutefois pas, et ce n'est qu'après des hésitations, alors que Roland est déjà désarçonné et en danger de capture, qu'il attaque. Il tue de nombreux Sarrasins, mène un cheval à Roland, puis quitte de nouveau le champ de bataille. Plus tard, Olivier et ses chevaliers quittent le camp de Charlemagne et attaquent la petite ville mauresque de Gorreya. Roland part à leur suite pour demander pardon à Olivier. Puis ils se déguisent en Sarrasins, attendant Roland venu demander pardon. Quand celui-ci arrive, Olivier sort de la ville déguisé en Sarrasin, et l'attaque. Roland réussit à désarçonner Olivier, mais sur un signal de celui-ci, les autres chevaliers sortent à leur tour, déguisés aussi. Très vite Roland est piégé et débordé, puis obligé de se rendre. Olivier retire alors son déguisement et accepte les excuses de Roland.

Olivier apparaît également dans une série de chansons concernant le géant Fierabras, présenté comme un rival d'Olivier, et quasiment son égal. Le roi sarrasin Balan et son fils le géant Fierabras (qui mesure 4,60 mètres) reviennent en Espagne après le sac de l'église Saint-Pierre de Rome et la capture des reliques de la Passion. Charlemagne envahit l'Espagne pour récupérer lesdites reliques et envoie Olivier affronter Fierabras. Une fois vaincu, le géant décide de se convertir au christianisme et rejoint l'armée de Charlemagne. Peu après, Olivier et quelques-uns de ses compagnons sont capturés par les Sarrasins. Floripas, sœur de Fierabras, tombe amoureuse de l'un des chevaliers, Gui de Bourgogne. Après une série de péripétie, Balan est tué, Charlemagne envoie les reliques à Saint-Denis et partage l'Espagne entre Fierabras et Gui de Bourgogne, qui épouse Floripas.

Le paladin

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